Ayant grandi sur une ferme à Rivière-la-Paix en Alberta, Chrystia Freeland n’a jamais reculé devant l’adversité.
En tant que journaliste, elle a échappé aux espions russes, couvert l’effondrement de l’Union soviétique et dénoncé les oligarques, les milliardaires et les politiques économiques qui ont érodé la classe moyenne dans le monde entier.
Après avoir observé Pierre Poilievre et Stephen Harper mettre de telles politiques économiques en œuvre, elle est retournée dans sa ville d’adoption, Toronto, avec ses trois jeunes enfants, pour se présenter à l’élection fédérale de 2013.
Elle a remporté une nomination contestée et une élection partielle serrée, puis a rejoint le Parti libéral, alors en troisième position. Elle a pris place tout au fond de la Chambre des communes, en promettant de se battre pour les travailleuses et travailleurs canadiens.
Lorsque les libéraux ont formé le gouvernement en 2015, Chrystia est devenue ministre du Commerce international, où elle s’est battue pour les emplois canadiens et a sauvé l’accord commercial du Canada avec l’Union européenne.
Après avoir été nommée ministre des Affaires étrangères, elle a défendu le Canada contre Donald Trump pour protéger l’ALENA, notre accord commercial avec les États-Unis et le Mexique. Habile négociatrice, Chrystia a été nommée diplomate de l’année par le magazine Foreign Policy en 2018. Bien qu’elle soit devenue la cible privilégiée d’attaques de Donald Trump, elle a obtenu un bon accord pour les Canadiennes et Canadiens.
Lorsque Trump a imposé des tarifs douaniers sur l’acier et l’aluminium canadiens en 2018, Chrystia s’est à nouveau battue – et elle a encore gagné.
En 2019, Chrystia a été nommée vice-première ministre, où elle a dirigé la réponse du Canada face à la pandémie et a protégé la population et les entreprises canadiennes de la plus grande récession depuis la Grande Dépression.
En 2020, elle est devenue ministre des Finances, la première femme de l’histoire du pays à se voir confier ce rôle. En tant que ministre des Finances, Chrystia a mené la reprise économique du Canada à la suite de la récession causée par la pandémie. Elle a également renforcé le filet de protection sociale de manière importante, notamment en offrant des places en garderies à 10 $ par jour et des soins dentaires abordables à 9 millions de Canadiennes et Canadiens.
Alors que Donald Trump prépare des tarifs douaniers démesurés pour le Canada et que les conservateurs de Pierre Poilievre sont prêts à céder, notre pays a besoin d’une cheffe qui ne reculera pas.
Chrystia se présente pour être la prochaine cheffe du Parti libéral et la prochaine première ministre du Canada parce qu’elle sait comment se battre et comment gagner.
Chrystia Freeland va défendre le Canada et Chrystia Freeland va vous défendre.
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